Le développement rapide du courtier en prêt immobilier Avisofi s’accompagne d’une présence de plus en plus fréquente dans les médias. Le 23 avril 2015, c’est le quotidien La Provence qui nous met à l’honneur via l’agence de Marseille. Un entretien de Nicolas TEDESCO illustre un dossier intitulé « Comment renégocier son crédit immobilier ? »
Je vous en propose la retranscription complète et remercie la rédaction pour l’intérêt qu’elle porte à notre enseigne.
Quels sont les pièges à éviter ?
Nicolas Tedesco, directeur de l’agence Avisofi, spécialisée dans la négociation de crédits immobiliers, livre quelques conseils pour mieux négocier.
1 – A quel moment doit-on négocier un prêt immobilier ?
Nous sommes dans la meilleure période pour renégocier un prêt. Les taux sont, depuis quelques mois, historiquement bas. Il faut en revanche que la différence entre votre taux de départ et le nouveau taux négocié soit au moins de 0.8%. Cette renégociation doit intervenir assez tôt dans votre échéancier car c’est durant cette période que se concentrent les intérêts.
2 – Comment éviter les erreurs ?
Il est important de savoir ce que l’on veut faire du bien que l’on va refinancer. Si une vente du bien à court ou moyen terme se profile, il faut bien calculer l’indice du rachat sur le nouveau capital restant dû (indemnité de remboursement anticipé, frais de dossier, nouvelle garantie bancaire) par rapport à l’économie mensuelle réalisée. Dans de nombreux cas, cela peut être une fausse bonne idée, mais cela peut permettre par la même occasion de remettre en question les assurances. Attention, il est possible que votre situation médicale ne soit pas la même et que l’économie faite sur vos intérêts soit perdue sur le coût de l’assurance.
3 – Quels conseils donneriez-vous aux intéressés ?
Si vous ne restez pas dans votre banque, il est capital d’avoir un décompte de remboursement anticipé à J+3 mois afin de partir sur un montant précis. Toutefois la renégociation s’avère très chronophage. Idéalement, le client doit se faire accompagner par un intermédiaire qui saura lui faire bénéficier de son expertise grâce au volume de dossiers qu’il traite régulièrement. Pour être sûr de s’adresser à un bon professionnel, mieux vaut vérifier qu’il ait des conventions avec la plupart des établissements.